RS Black Edition : « Et je remets le son … »

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La moto : Z900RS Black Edition

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Commercialisée depuis 2018, la Kawasaki Z900 RS s'est durablement installée dans le paysage motocycliste, en France comme dans la plupart des pays.

Basée sur la Z900 de la marque, cette néo-rétro bénéfice d'une côte de sympathie de la part du public, jeune ou moins jeune.

Le modèle doit aussi son succès à ses qualités intrinsèques : facilité d'utilisation, équilibre châssis/moteur, puissance suffisante.

En utilisation normale.

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Avec ses lignes rondes, la RS évoque fortement la 900 Z1 des années 70.

Elle dispose d'un équipement complet et d'une personnalité propre, en rapport avec son époque : moteur à refroidissement liquide, alimentation par injection électronique, fourche inversée, mono-amortisseur, étriers AV radiaux, système anti-patinage, ...

A la fois moderne et classique, elle se prête à de nombreuses préparations.

Notre RS Black Edition est avant tout une moto jeune et urbaine.

De la RS, elle conserve la ligne générale.

Elle s'enrichit de nouvelles roues à rayons inox, équipées de jantes alu anodisées or.

La peinture de carrosserie conserve la déco de la Z900RS Cafe, dans une déclinaison noir mat et noir brillant.

Avec logo Z à l'avant du réservoir.

Et "Z900RS Classic" sur le dessus du réservoir.

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Les caches latéraux et écopes de réservoir d'origine sont remplacés par des éléments à la forme adoucie, se rapprochant du style des Z1 des seventies.

Le guidon noir mat est issu d'une Z1000 de 2014.

Les poignées sont empruntées à la "vraie" Z1.

Tout comme les clignotants, traités en noir brillant.

Le garde-boue AR d'origine, en plastique, a laissé place à un mini support de plaque en alu noir.

Les écopes de radiateur ont été anodisées "Gold", dans le même bain que les jantes.

Les protections de repose-pieds pilote ont été ajourées.

D'origine, le moteur de la RS délivre 111 CH.

Sa courbe de puissance, comme sa courbe de couple, s'affaisse autour de 4 000 tr/mn, afin de satisfaire aux normes anti-pollution.

Notre RS Black Edition, au boîtier E.C.U. reprogrammé, offre un nouveau profil :

- puissance maxi : 125 CH (avec le 4 en 1 DBK)

- régime maxi : 9 500 tr/mn (au lieu de 8 750 tr/mn)

- courbes de puissance et de couple constantes, sans palier à l'approche des 4 000 tr/mn

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La ligne d'échappement 4 en 1 a été spécialement conçue pour cette prépa, par DBK HighPerformance.

Réalisée en tubes inox de gros diamètre, elle laisse le moteur respirer.

Sans restriction.

Un traitement de surface spécifique lui donne une coloration irisée.

La sonde Lambda est conservée, sur le tube de fuite.

Le silencieux peut être équipé d'un décibel killer.

Libéré, le moteur de la RS Black Edition a plus de coffre et de puissance, disponible à tous les régimes.

Le son de l'échappement est rauque, sans être excessif.

Le pilote est bien protégé derrière le tête de fourche, le guidon mi-haut de Z1000 s'avérant un bon compromis entre le grand guidon de la RS et le guidon plat de la RS Cafe.

Les roues rayonnées offrent un confort en nette amélioration par rapport aux roues d'origine en alliage d'aluminium, plus rigides.

La déco noire et or fait le reste ...

La fresque murale : Violette

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La fresque, intitulée "Violette", est l'oeuvre de l'artiste russe Anna Conda.

Réalisée en 2021, cette murale mesure 8 m de hauteur.

Elle est située quai d'Ivry à Paris 13e.

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Anna vit et travaille à Paris.

Ses créations et son univers s'inspirent des symboles et éléments de différentes cultures et traditions, issus de ses expériences de vie aux quatre coins du monde : des forêts de la Sibérie vers les jungles amazoniennes en traversant les montagnes dʼEurope.

La connexion à la nature, l'intérêt au cosmos, ses énigmes et mystères, la sagesse des peuples indigènes d'Amazonie, la philosophie des Grecs anciens, l'insertion de motifs archaïques et symboles cosmopolites… cet ensemble donne à ses créations un aspect multiculturel, où chacun peut se retrouver, s'identifier.

Elle invite chaque personne à s'ouvrir à lʼart, à rêver et se raconter sa propre histoire devant ses peintures, interpréter et faire des connexions entre les différents éléments.

En arrivant en France en 2011, Anna a continué sa formation en modelage et sculpture classique en argile.

Puis sa recherche artistique s’est orientée vers le dessin et les peintures murales.

Elle poursuit actuellement des études supérieures à l’école d’Art Plastique et Science d’Art à la Sorbonne à Paris.

Elle donne également des cours d’art pour les enfants au Centre Spirituel et Culturel russe, à Paris.

Son atelier est situé à Ivry-Sur-Seine, au sein d’une association de street artists : Le Village.

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